Un soir à Boitsfort…
Invités par Fabienne à partager nos connaissances théoriques sur le naginata, nous nous sommes retrouvés dans son intérieur chaleureux en comité restreint… Yves et L. Dumonceau, mieux connue sous le nom de Laurence D. (oui oui celle du prix de français…), pour le premier dan, Angèle (dite Picolette) et moi-même (je laisse à quelqu’un d’autre le soin de rire de moi) pour le deuxième dan.
Parmi les autres participants, pour le soutien moral, les connaissances à partager et l’ambiance à entretenir, je nommerai l’illustre John, parmi nous malgré des examens à passer, le non moins célèbre Jésus de Floréal et la douce Zaya, fraîchement émoulue deuxième dan lors du stage international à Prague.
Je n’oublierai pas l’instigatrice de cet événement sans qui de soirée point n’eût été : notre bien-aimée Fabienne dont l’accueil fut, comme à son habitude, chaleureux…
Il n’y a point non plus de révisions sans tableau de conférence et sans marqueurs, sans « Naginata ultimate guide book » et sans les conseils linguistiques avisés de Tim et les traductions parfois folkloriques de John (mais John et folklore ne sont-ils pas pléonastiques ?).
Il faut savoir que nous avons réussi à être presque sérieux pendant une heure et demie et que cet enseignement fut bénéfique à chacun d’entre nous vu que nous avons tous réussi avec fruit nos tests au championnat d’Europe de Tours… Nous sommes maintenant absolument sûrs qu’il y a moyen d’apprendre en s’amusant.
Les têtes bien pleines nous nous sommes attablés autour d’un bon spaghetti végétarien qui a rempli nos estomacs et, pour ne pas faillir à la tradition, un bon petit coup de pinard là-dessus et Tim ne savait plus comment tenir son livre pour le lire, John dessinait des souris en armure et nous essayions vainement de nous rappeler certains noms japonais dont nous comprenions le sens une heure auparavant…
Mais tout ceci n’est que littérature et seuls ceux qui étaient présents sauront faire le tri du vrai et de l’imaginaire… Bon vent amis du naginata et que la force du tapir tchétchène soit avec vous… (celle-là, je vous laisse deviner de qui elle vient…)
Aniku